« Avant de songer à réformer le monde, à faire des révolutions, à méditer de nouvelles Constitutions, à établir un ordre nouveau, descendez dans votre cœur, faites-y régner l'ordre, l'harmonie, la paix. Ensuite seulement, cherchez autour de vous des âmes qui vous ressemblent et passez à l'action. » (Platon)

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« Dura lex sed lex » : « La loi est dure, mais c'est la loi. » (Ulpien)

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« Le droit est l’art du bon et de l’équitable. » (Celse)

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« La justice est le plus solide fondement de la durée des États. » (Louis XIV)

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« La démocratie c'est le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple. » (Abraham Lincoln)

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« On me dit qu’il fallait une révélation pour apprendre aux hommes la manière dont Dieu voulait être servi ; on assigne en preuve la diversité des cultes bizarres qu’ils ont institués, et l’on ne voit pas que cette diversité même vient de la fantaisie des révélations. Dès que les peuples se sont avisés de faire parler Dieu, chacun l’a fait parler à sa mode et lui a fait dire ce qu’il a voulu. Si l’on n’eût écouté que ce que Dieu dit au cœur de l’homme, il n’y aurait jamais eu qu’une religion sur la terre. » (Rousseau J.-J.)

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« Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément. » (art. 3 Déclaration des droits de l'homme et du citoyen du 26 août 1789)

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« Ce n'est pas la crainte de la peine qui doit rendre l'homme bon, mais l'amour de la justice. » (Gombaud A. "Chevalier de Méré")

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« Pour être obéi sans répugnance, il faut commander par l'exemple. » (Gombaud A. "Chevalier de Méré")

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« Si l'État est fort, il nous écrase. S'il est faible, nous périssons. » (Valéry P.)

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« Une loi n’est pas là pour dire le bien ou le mal, mais seulement le permis et le défendu. » (Comte-Sponville A.)

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« Pour qu'on ne puisse abuser du pouvoir, il faut que, par la disposition des choses, le pouvoir arrête le pouvoir. » (de Secondat C. dit Montesquieu)

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« La liberté c'est le respect des droits de chacun ; l'ordre c'est le respect des droits de tous. » (Marbeau E.)

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« À chacun sa famille, à chacun son droit. » (Carbonnier J.)

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« Qu'on me donne six lignes écrites de la main du plus honnête homme, j'y trouverai de quoi le faire pendre. » (attribuée à du Plessis A. J. Cardinal de Richelieu)

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« Une Constitution c'est un esprit, des institutions et une pratique. » (de Gaulle C.)

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« Pouvoir suprême, individuel, inaliénable, unique et perpétuel. » (Bodin J., à propos de la souveraineté)

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« Une Constitution ne peut rien faire d'autre que d'apporter des chances aux hommes politiques de bonne foi qui, pour la nation et la liberté, veulent un État, c'est à dire, avant toute chose, un gouvernement. » (Debré M.)

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« L’aléas chasse l’erreur. » (Civ. 1ère 24 mars 1987)

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« Nul ne peut se prévaloir de sa propre turpitude. » (Civ. 1ère 17 juillet 1996)

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« Les choses n’ont pas de valeur intrinsèque. » (Civ. 1ère 14 décembre 2004)

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« Le droit est la plus puissante des écoles de l'imagination. Jamais poète n'a interprété la nature aussi librement qu'un juriste la réalité. » (Giraudoux J.)

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« La Nation n'a pas de rancune mais elle a de la mémoire. » (Constant B.)

« Chers étudiants, nous avons cette année accueilli plus d'entre vous que précédemment. L'avantage c'est que cela donne une chance à chacun. L'inconvénient c'est que, comme les critères qualitatifs ne peuvent être revus à la baisse, la sélection sera plus rude pour tous." (Gavalda C., à l'occasion de l'épreuve de délestage de mi-semestre dite "le cocotier")

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« Je considère qu’en-dessous de la moyenne, vous vous moquez de vous-même. Et, par extension, de moi. »  (Gavalda C.)

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« Vous pouvez bien écrire ce que vous voulez, ça ne changera rien au droit. Par contre, ça changera tout à votre note. » (Lagarde P., en réponse à une question posée sur la liberté d'écriture dans les copies d'examens à l'occasion de la consultation des copies)

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« L'appréciation est progressive. La notation est proportionnelle. » (Lagarde P., à propos de l'évaluation universitaire)

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« L'homme de bon jugement n'est pas l'homme de science. Il n'ignore pas que, s'agissant des affaires humaines, le vrai s'efface habituellement devant le vraisemblable et ne se confond pas avec le démontrable. Il ne s'incline pas devant un savoir transcendant quand il doit juger, donc comprendre. Et la raison qui inspire le juge est plus raisonnable que rationnelle. » (Terré F., Droit civil Les obligations)

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« Le droit est médiation entre le juste et le sage car il est articulation de l'individuel et du social. » (Terré F., Du juridique et du social, 2012, Mare et Martin)

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« Une codification mal réalisée peut provoquer une défiguration des codes, une confusion des esprits, empêcher la formation d'une jurisprudence opportune et entretenir une jurisprudence critiquable. » (Terré F., à propos de la réforme du droit des contrats, du régime général et de la preuve des obligations)

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« Le faisceau d'indices Morvan. » (Morvan P., à propos de l'examen des offres de formations des établissements d'enseignement supérieur)

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« La ligne de flottaison. » (Morvan P., à propos de l'évaluation des profils d'étudiants pour la sélection post Licence)

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« Ne faire que des textes nécessaires, bien conçus, juridiquement solides et clairement écrits, telle doit être l’ambition des administrateurs et des légistes. » (Guillaume M. et Sauvé J.-M., Guide de légistique, La documentation française)

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« La méthodologie et l'apprentissage du droit peuvent se décliner de la façon suivante : décomposer pour comprendre, qualifier pour démontrer, recomposer pour maîtriser. Les obstacles seraient ainsi : un raisonnement partiel, une mémorisation résiduelle, une imprégnation insuffisante. » (Tourres G., cours de Méthodologie juridique)

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« Si "L’ignorant affirme, le savant doute, le sage réfléchit (Aristote)", rien n’est figé : l’ignorant peut, par la curiosité et le travail, s’instruire ; il peut ensuite, par l’écoute et la patience, s’assagir. » (Tourres G., cours d'Introduction à l'étude du droit)

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« Il est toujours prudent de filtrer l’information reçue. Si elle n’est ni exacte, ni bonne, ni utile... pourquoi vouloir la diffuser ? » (Tourres G., synthèse des trois passoires de Socrate)

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« Non mais vous croyez quoi ? Qu'on n'est pas jugé sur son apparence ? Que la manière dont on se présente au monde n'a pas d'importance ? L'éloquence, la rhétorique, c'est précisément ça que je veux vous apprendre ! » (Auteuil D., Le Brio)

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« Il ne faut pas seulement voir le droit comme des matières distinctes (droit public, droit privé, histoire du droit, science politique), mais bien plus comme une seule discipline, voire même comme un domaine unique, dont toutes les "branches" vont trouver tour à tour à s’appliquer à des questions, à la résolution de problèmes. Donc, l’idée, parfois tentante, d’exclure ou de limiter son apprentissage à ce qui peut être considéré comme "utile" pour un cours ou une séance de travaux dirigés est une vraie fausse bonne idée. Son exécution expose même au risque d’avoir une vision tronquée et une analyse insuffisamment approfondie, ne permettant alors pas de découvrir la continuité de la question abordée et ses échos dans les autres branches, transcendant la simple division public-privé. » (Drumetz A.)

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« Aucun droit ou liberté n'étant absolu ou immanent, les autorisations et interdictions sont régulièrement assorties de conditions. Il faut et il suffit donc de satisfaire aux prescriptions de la règle de droit pour que l'acte soit licite et recevable. Et ce, que les parties choisissent un règlement amiable, un mode alternatif de règlement des différends, une saisine juridictionnelle. » (Tourres G.)

« La discorde est le plus grand mal du genre humain, et la tolérance en est le seul remède. » (Voltaire)

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« Il faut savoir que rien n’est sûr, que rien n’est facile, que rien n’est donné, que rien n’est gratuit. Il faut savoir que tout se conquiert, que tout se mérite. Et que si rien n’est sacrifié, rien n’est obtenu. » (Denoix de Saint Marc H.)

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« Tout homme qui dirige, qui fait quelque chose, a contre lui ceux qui voudraient faire la même chose, ceux qui font précisément le contraire et surtout la grande armée des gens d'autant plus sévères qu'ils ne font rien du tout. » (Claretie J.)

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« Ne laisse pas ta flamme s'éteindre, étincelle après précieuse étincelle, dans les eaux putrides du presque, du pas encore ou du pas du tout. Ne laisse pas périr ce héros qui habite ton âme dans les regrets frustrés d'une vie que tu aurais mérité, mais que tu n'as jamais pu atteindre. Tu peux gagner ce monde que tu désires tant, il existe, il est bien réel, il t'appartient. » (Rand A.)

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« Le doute est un état mental désagréable, mais la certitude est ridicule. » (Voltaire)

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« Amare et sapere vix deo conceditur » : « aimer et être sage, même un dieu le pourrait à peine. » (Publilius Syrus, Sentences)

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« L’art suprême de la guerre c’est soumettre l’ennemi sans combat. » (Sun Tzu)

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« Les deux guerriers les plus puissants sont la patience et le temps. N'oublie pas que les grandes réalisations prennent du temps et qu'il n'y a pas de succès du jour au lendemain. » (Tolstoï L.)

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« Il reste cette assimilation stéréotypée qui veut que si une compétence de langage n’est pas correctement acquise, on l’assimile à une incompétence générale. » (Bauvet S., Les agents de sécurité, ceux qui savaient, 16 avril 2020, Témoignage Chrétien)

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« Rangez ces ouvrages compliqués, les livres comptables feront l’affaire. Ne soyez ni fier, ni spirituel, ni même à l’aise, vous risqueriez de paraître arrogant. Atténuez vos passions, elles font peur. Surtout, aucune “bonne idée”, la déchiqueteuse en est pleine. Ce regard perçant qui inquiète, dilatez-le, et décontractez vos lèvres – il faut penser mou et le montrer, parler de son moi en le réduisant à peu de chose : on doit pouvoir vous caser. Les temps ont changé. Il n’y a eu aucune prise de la Bastille, rien de comparable à l’incendie du Reichstag, et l’Aurore n’a encore tiré aucun coup de feu. Pourtant, l’assaut a bel et bien été lancé et couronné de succès : les médiocres ont pris le pouvoir. » (Deneault A.)

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« La perfection est atteinte, non pas lorsqu’il n’y a plus rien à ajouter, mais lorsqu’il n’y a plus rien à retirer. » (de Saint-Exupéry A.)

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« Lorsqu'une question soulève des opinions violemment contradictoires, on peut assurer qu'elle appartient au domaine de la croyance et non à celui de la connaissance. » (Voltaire)

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« N'obéir à personne est un plus grand bonheur que de commander au monde entier. » (de Suède C.)

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« Le sujet idéal du règne totalitaire n’est ni le nazi convaincu, ni le communiste convaincu, mais l'homme pour qui la distinction entre fait et fiction et la distinction entre vrai et faux n’existent plus. » (Arendt H.)

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« Impose ta chance, serre ton bonheur et va vers ton risque. À te regarder, ils s’habitueront. » (Char R.)

« La stupidité est un ennemi bien plus dangereux du bien que la malice. On peut s'insurger contre le mal, il peut être révélé et, si besoin, prévenu par l'usage de la force. Le mal porte en effet toujours en lui le germe de sa propre subversion dans le sens où il laisse au coeur des êtres humains a minima un sentiment de mal être. Contre la stupidité en revanche, nous sommes sans défense. Ni les insurrections ni le recours à la force ne sauraient y faire, ni même la raison. Les faits qui viennent contredire les préconceptions n'obtiennent pas plus de crédit - dans de tels cas, le stupide devient même critique - et même quand les faits sont irréfutables, ils sont simplement mis de côté comme dépourvus de conséquence ou d'incidence. Ainsi, le stupide, de façon contrastée avec le malveillant, est pleinement satisfait de lui-même et, tout en étant aisément irritable, peut se comporter plus dangereusement, quitte à devenir agressif. Pour ces raisons, une plus grande prudence est nécessaire quand il s'agit de traiter avec un stupide plutôt qu'avec un malveillant. Tenter de raisonner un stupide persuadé est contreproductif et dangereux. » (Bonhoeffer D., trad. anglaise)

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« Si tu peux voir détruit l’ouvrage de ta vie 
Et sans dire un seul mot te mettre à rebâtir, 
Ou perdre en un seul coup le gain de cent parties 
Sans un geste et sans un soupir ; 

Si tu peux être amant sans être fou d’amour, 
Si tu peux être fort sans cesser d’être tendre, 
Et, te sentant haï, sans haïr à ton tour, 
Pourtant lutter et te défendre ; 

Si tu peux supporter d’entendre tes paroles 
Travesties par des gueux pour exciter des sots, 
Et d’entendre mentir sur toi leurs bouches folles 
Sans mentir toi-même d’un mot ; 

Si tu peux rester digne en étant populaire, 
Si tu peux rester peuple en conseillant les rois, 
Et si tu peux aimer tous tes amis en frère, 
Sans qu’aucun d’eux soit tout pour toi ; 

Si tu sais méditer, observer et connaître, 
Sans jamais devenir sceptique ou destructeur, 
Rêver, mais sans laisser ton rêve être ton maître, 
Penser sans n’être qu’un penseur ; 

Si tu peux être dur sans jamais être en rage, 
Si tu peux être brave et jamais imprudent, 
Si tu sais être bon, si tu sais être sage, 
Sans être moral ni pédant ; 

Si tu peux rencontrer Triomphe après Défaite 
Et recevoir ces deux menteurs d’un même front, 
Si tu peux conserver ton courage et ta tête 
Quand tous les autres les perdront, 

Alors les Rois, les Dieux, la Chance et la Victoire 
Seront à tout jamais tes esclaves soumis, 
Et, ce qui vaut mieux que les Rois et la Gloire 
Tu seras un homme, mon fils. » (Kipling R.)

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« Nescit vox missa reverti. » : « Ce qui est dit ne peut plus être retiré » (Horace)

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« C'est parce que la vitesse de la lumière est supérieure à celle du son que certains paraissent brillants avant d'avoir l'air con. » (François N.)

« Nemo censetur ignorare legem » : « Nul n'est censé ignorer la loi » (maxime latine reprise à l'art. premier du code civil de 1804)

« Necessitas non habet legem » : « Nécessité fait loi » (Publilius Syrus)

« Infans conceptus pro nato habetur quoties de commodis ejus agitur » : « L'enfant conçu sera considéré comme né chaque fois qu'il pourra en tirer avantage »

La personnalité juridique

L'annulation

La représentation

L'autonomie des volontés

La personne morale

Le dédoublement fonctionnel

Le fond de commerce

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